La maso premiers câlins 01

Par TSM

AVANT PROPOS

Le Roman érotique « La Maso » aborde la vie sentimentale et SM d'un couple adorable. Il débute gentiment, les tourtereaux se découvrent dans une grange, elle lui offrira sa virginité puis au fils des pages, l'évolution des passions va les conduire sur les sentiers sinueux mais au combien plaisant de l'amour BDSM. Ce roman à la fois intimiste et érotique, aborde de nombreux thèmes de cette forme de sexualité sans tomber dans la bêtise des phrases déplacées et illogiques rédigées par des auteurs qui n'ont pour expérience que le Web et leurs fantasmes. Doux, chaud, parfois brûlant, des mots pour parler des maux qui font du bien… au cœur. Attention, certains passages peuvent gêner ou choquer, les plus jeunes ou les plus sages.

Progressivement, l’héroïne va évoluer dans son comportement pour glisser vers les plaisirs du BDSM, d’autres diront vers la perversion, mais à chacun son appréciation……..

Chapitre 1 sur 26

J’ai rencontré Eric par un beau jour de printemps, à la buvette du club hippique créé par son père. J’ai eu le coup de foudre. Il est beau, 25 ans, grand et bien musclé. Son visage et sa coupe de cheveux lui donnent un air de mafioso. J’adore ! Si je m’estime pas trop mal de ma personne, 18 ans, mince sans être maigre, un mètre soixante-dix, blonde et les yeux bleus verts, je m’étonne qu’un homme aussi beau qu’Eric, s’attarde avec la vierge effarouchée que je suis. Lors de nos tendres et prudes ébats je lui ai avoué que je n’ai jamais fait l’amour avec un homme. Il m’a toujours respectée et n’a jamais râlé quand je lui refuse certaines caresses. Je crois que c’est aussi pour cela que je l’aime, pour sa patience et sa douceur.

Je suis comme on me l’a déjà dit vulgairement, « toute neuve ». Je n’ai connu que de deux relations éclairs et limitées à quelques baisers furtifs. Eric m’a récemment proposé de vivre avec lui, mais j’ai un peu peur. En fait j’ai peur de beaucoup de chose. Avec lui je me sens prête à devenir une femme. J'ai osé lui avouer hier soir entre deux baisers, en lui disant que j’avais rêvé qu’il prenait ma virginité dans un endroit magique. Ses baisers sont devenus plus doux, mais il n’a rien tenté de déplacé. Il m’a simplement donné rendez-vous cette après midi dans la grange, près de l’écurie.

Je m’y suis rendu seule, discrètement en tremblant comme une a d o l e s c e n t e qui va faire une bêtise. De ce lieu émane un calme et un parfum propices aux ébats amoureux. Je me sens cruche en l’attendant et mes pensées se bousculent. La porte s’ouvre, Eric entre d’un pas décidé. Il a sous son bras, une couverture grise qu’il jette négligemment sur la paille en s’approchant de moi et quelque chose de caché dans son dos. Il me sourit, me tend une rose et me prend doucement dans ses bras puis me serre contre lui comme pour me rassurer.

Nos corps, plaqués l’un contre l’autre se cherchent, se serrent en une étreinte de passion. Débout, au milieu de la grange, blottie aux creux de ses bras, mon éternelle pudeur fond comme glace au soleil. Je passe mes bras autour de son cou, et l’embrasse tendrement.

- Je t’aime !

- Moi aussi ! Tu hantes mes rêves depuis que je t’ai rencontrée.

Ses mains s'immiscent sous mon tee-shirt, caressent ma peau avec une extrême douceur. Son baiser devient fougueux, viril et passionné. Des frissons courent sur ma peau, ses gestes et sa bouche gourmande exacerbent mes lubriques pensées. Il m’abandonne un instant, verrouille la porte de l’intérieur et revient vers moi. Son sourire ensorceleur me rassure.

Il fait remonter mon tee-shirt, sans pudeur je lève les bras pour l’aider dans ce geste anodin pour beaucoup d’amoureux, mais si difficile pour moi. En déposant mille baisers soyeux dans mon cou, ses doigts agiles décrochent mon soutien-gorge. Lorsqu’il le retire, ses lèvres gambadent sur ma poitrine frémissante, mais sans en toucher les pointes. Mes bouts des seins si sensibles, trahissent mon émoi tant ils se dressent, drus et provocants. Du bout des lèvres, il les embrasse enfin. Je m’électrise !

- Tes seins, que je vois pour la première fois sont d’une rondeur parfaite, fermes et délicats. Tu es belle et je suis l’homme le plus heureux !

Calmement, il étale la couverture sur la paille, s’assoie, prend ma main et m’invite à m’allonger près de lui. Sa bouche reprend aussitôt son office sur ma poitrine. Je frissonne un peu quand ses baisers glissent sur mon ventre, agacent mon nombril puis viennent courir le long de ma jupe.

- Une barrière de tissus, bloque mes lèvres qui brûlent de découvrir ton corps de rêve, m’aiderais-tu à la retirer.

- J’ai un peu honte !

- Tu n’as pas à avoir honte de présenter à celui qui t’aime et qui veut vivre à tes cotés, ce corps qui est un chef d’œuvre de beauté ciselé par la main de mère nature.

Tout émue, je l’aide à la retirer, mais quand en appuis sur mes pieds je soulève mes fesses, ce geste impudique me perturbe. Sa langue et ses lèvres déposent mille baisers et caresses autour de ma petite culotte puis sur le haut de mes cuisses. Je prends soudain conscience qu’Eric n’est pas un goujat pressé de me sauter. Ses mains n’ont encore rien touché de mon intimité, de mes cuisses, de mes fesses. Il semble simplement avoir envie de découvrir mon corps en le couvrant de baisers.

Ma peau laiteuse, qui n’a guère vu le soleil par pudeur, contraste avec la couleur de la paille. Il remonte et s’allonge délicatement sur le coté, tout contre moi. Je frémis un peu quand sa main se pose sur ma cuisse et remonte lentement pour venir se poser en coquille sur mon intimité que je lui ai jusqu'à présent refusé. Durant le long et tendre baiser qui suit, je le laisse caresser mon minou à travers le tissu.

Son index masse mon clitoris de petits mouvements circulaires. C’est la première fois qu’une main autre que la mienne caresse ce lieu prohibé. Il m’abandonne et redescend vers mon intimité que suis maintenant décidée à lui offrir. Il étire délicatement ma culotte sur le coté et dépose des baisers sur mon clitoris hyper tendu et sensible. Ses doigts écartent l’élastique du dernier rempart de ma pudeur, je n’offre aucune résistance. J’ai envie de lui contre moi.

Il se recule et se dénude en me souriant. Je le regarde et ne vois plus son corps de la même façon qu’à la piscine. Il est beau comme un dieu ! Amoureuse au possible mais avec crainte, je vais offrir ma virginité à un apollon. Je suis tout émue quand il s’allonge nu contre moi.

- Je remercie le ciel de notre rencontre. Je dois être béni des dieux pour avoir été choisi comme l’homme à qui tu vas t’offrir pour la première fois. Je t’aime !

- Moi aussi je t’aime, mais j’ai peur et je suis horriblement gênée ! Tu iras doucement ? Tu ne me feras pas mal ?

- Je vais être plus doux qu’un agneau. Je rêve que de te caresser et de te prodiguer les plus affectueuses et tendres attentions, pas de te faire mal.

- Je suis une trouillarde, une vraie poule mouillée, si je résiste au dernier moment, f o r c e -moi un peu car je veux devenir une vraie femme, ta femme !

- Tu es déjà la plus belle des femmes et l’amour te fait rayonner !

Il s’allonge sur moi, mes bras l’enlacent. Ses mains caressent mon visage, sa bouche embrasse mon front, mes joues, mon nez, il me mange littéralement. Je sens son sexe tendu qui bute contre mon ventre. Je suis si bien dans ses bras, même si j’ai peur d’avoir mal, d’être ridicule.

Entre deux baisers, sa main fait jouer son sexe contre mes lèvres trempées. Il les agace et les caresse de son gland.

- Prends-moi !

Il m’embrasse tendrement pendant que sa verge commence à jouer à l’entrée de ventre qui n’a jamais été visité. Tout mon être s'est concentré dans cet endroit secret. Il s’y avance lentement, son gland dilate douloureusement mon intimité. Je suis prise soudain par cette peur et cette pudeur, qui ont fait que je n’ai jamais câliné avec un homme, que je ne me suis jamais laisser vraiment toucher par un homme ! Je crie et le supplie de me laisse partir.

Il saisit mes poignets et f o r c e fermement mes bras contre mon corps, puis m’embrasse tendrement. Eric se couche fortement sur moi et me bloque de tout son poids. Je sens qu’il me f o r c e ! Je crie « non, non » encore même bâillonnée par sa bouche. J’ai mal, une douleur piquante irradie dans mon vagin distendu ! Il entre en moi et m'investit d'un coup, jusqu'au plus profond de toute sa longueur. Sous une avalanche de bisous fous et passionnés, je le sens aller et venir dans mon ventre. Ca y est, je suis une femme !

Chaque déplacement en arrière ou en avant d’Eric provoque une onde douce et V i o l ente à la fois. Une sensation nouvelle m’envahit. Je découvre le plaisir d’être prise !

Une faible douleur est encore présente, mais c'est le plaisir qui domine. Les sensations qu’il provoque en moi, sont si intenses que j’ose gémir. Prisonnier sous un homme, mon corps docile se cambre. Les vestiges de la pudeur s’écroulent. Au début, mon être se révoltait sous l’attaque, mais il y prend goût, s’avançant vers lui. La bouche ouverte et les yeux clos, je savoure ces instants d’abandon sensuels, laissant derrière moi les tabous que j'ai enfin osé dépasser. Les cuisses écartées, impudique au possible je gémis sans discontinuer, sans plus aucune retenue.

Ses bras, passent entre mes cuisses, les ouvrent et les remontent. Ses mains bloquent à nouveau mes poignets. Je suis totalement ouverte et offerte sans aucune possibilité de fuite, de défense tel un pantin désarticulé. Ses mouvements en moi s’accélèrent et deviennent plus puissants.

Je crie, ahane, me débats un peu, complètement décomposée, sous ce sexe puissant qui glisse en moi. Je suis prise de soubresauts, de contractions qui me traversent.

J’ai l’impression d’être noyée dans un océan d'orgasmes tant mon corps est traversé de spasmes v i o l ents. Je pleure de joie, mes larmes de bonheur coulent sur mes joues. Déchirée, offerte et docile sous ses coups de boutoir je l’embrasse comme une folle et lui cris des « je t’aime. »

O que c’est agréable d’être légèrement f o r c é e dans son plaisir, pour que le plaisir dure.

Pourquoi ai-je attendu si longtemps ? Tout s’arrête. Mon souffle court et rapide résonne dans le creux de ses épaules. Eric desserre son étreinte, mes jambes se posent dans la paille. En appuis sur ses bras, de ses baisers doux, il boit mes larmes de bonheur sur mon visage. Lentement j’ouvre les yeux. Il y a beaucoup d'émotion dans son regard.

- Ton visage est si beau, ta peau si douce, tes lèvres si délicates, que te regarder me fait fondre. L’instant que nous venons de vivre est le plus beau de ma vie.

- L’oie blanche s’est comportée comme une gourde !

- Ne dis pas ça, tu as été merveilleuse. Ce n’est qu’un début nous deux. Je ne quitte plus l’oie blanche qui est devenue la plus belle des tourterelles. J’ai une encore envie de te faire l’amour, de te croquer, de te manger de bisous et de m’abandonner en toi. Prends-tu la pilule ?

- Oui, inutilement depuis plus d’un an, sauf aujourd’hui. Ce jour est le plus beau de ma vie, l’homme que j’aime et qui vient de prendre ma virginité, a encore envie de moi. Dans tes bras, l’idée que je me faisais de l’amour a pris une toute autre dimension. Au-delà du coté poétique et beau de la chose, il y a l'éveil des sens !

Comme si l’on pouvait nous entendre, mes mains le tirent vers moi, du bout des lèvres je murmure à son oreille : « J’ai envie d’être à toi, que tu m’apprennes toutes ces choses merveilleuses de l’amour, prends-moi encore, f o r c e -moi, c’est si bon que mon corps te réclame déjà ! »

Il me regarde comme s’il allait me dévorer. Son regard braqué dans le mien, il s’enfonce en moi d'un mouvement de bassin et le va et vient qui suit me fait rapidement crier. Je recommence à perdre la tête, des ondes m’irradient le ventre. Mes mains rejoignent les siennes, nos doigts se cherchent puis s’enlacent.

- Tiens-moi fermement comme tout à l’heure !

Mes poignets se glissent sous ses mains qui se referment impitoyablement sur eux. Ses bras musclés écartent les miens. Ses jambes ouvrent les miennes qui se laissent faire sans résistance. Ses mouvements en moi reprennent. Écartelée et offerte à ses assauts, je suis comme crucifiée et la paille joue le rôle des clous sur la peau de mes mains.

Au-dessus de moi, en appuis sur ses bras aux muscles saillants, le b o u r r e a u de mon cœur laboure la vierge effarouchée que j’étais. Je suis heureuse. Je me sens bien. Une douce chaleur monte à mon visage. Je lui crie que je l’aime.

Son visage se crispe et affiche une grimace. Je comprends le sens de cette grimace quand il s'affale dans mes bras avec un petit cri animal. Son corps divinement sculpté me couvre. Pendant qu’il m’ensemence, tout heureuse j’embrasse son visage. Mes lèvres le dégustent avec passion.

Enlacé et l’un dans l’autre, nous savourons la magie de l’instant dans la paille, qui a été le témoin de mes premiers émois.

TSM

Mon premier week-end chez Eric sera TRES riche en expériences érotiques.

Lire la suite ici La maso 2

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